samedi 9 octobre 2010

Listenning to Farflung

(le denier Robert Plant : non)


Il y a des groupes que l’on écoute tout seul. La plupart du temps je me rends à peine compte si c’est du punk. J’aime. Surtout le matin avant d’aller bosser. Cela me réveille, me rappelle que je joue le jeu, me donne de la vitalité. Je n’ai jamais eu un petit ami qui aimait cela, des copains par contre oui. Oui évidemment. C'est un peu comme 'quand j’étais ado je voulais des docs martins'. Aujourd’hui on trouve quelque chose qui y ressemble à 680 euros chez Free Lance. Qui pourrait dire maintenant qu’écouter du punk ou du son bourré de LSD est ringard ? Pourtant...Alors on s’écoute Lisa Gerrard entre nous, à la rigueur on s’enfile quelque chose entre Joy Division et Dead Kennedy si on veut se souvenir un peu…Mais pas trop longtemps. Sinon vers deux heures du matin après quelques verres on arrive souvent dans la ligne droite de Pink Floyd, l’album ‘Pornography’ des Cure, Radiohead, Massive, Léonard Cohen ou Tom Waits. Mais du punk rarement. Si on couche ensemble c’est toujours de l’électro qu’importe la saison. De l’électro qui commence avec New Order, s’enfile avec Kruder, et se termine avec Diabologum. Quinqua dans le coin il veut entendre Les Stones ' Aftermath', il sourit si je fête les 70 ans de John Lennon. Il y a des groupes que l’on écoute tout seul. Des groupes qui vont bien avec l’enfance, le café noir, la rage, l’innocence...Et celui là, ce groupe, je l'adore. Putain. Autant qu'Hawkwind. Il y a ce morceau ' Like it has never been ' et aussi 'Stella Volo.' Et dessous le plus mauvais morceau de Farflung.

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