vendredi 27 juin 2014
Great Jones Street Don De Lillo ....partir, s'en aller, et se faire avoir.
Ailleurs.
On croit que l'on peut tout accepter, supporter pour un petit ( ou grand ) salaire.
On croit que l'on peut supporter 2 heures de transports pour des cheminots en grève.
On croit que remplir un régime de Prévoyance en désignant un bénéficiaire est tout-à-fait normal.
On croit que l'on peut lire sans rire un con dire "euthanasie' ne va pas, il y a le mot 'nazi' à l'intérieur.
On croit comprendre un livre qui nous échappe.
On croit que son meilleur ami a manipulé toutes les autres femmes et on ne connait pas cet homme là.
On croit écouter le foot et on ne le regarde pas.
On croit qu'il y a des manipulateurs pervers pas loin,et il n'y en pas.
On croit aux amitiés professionnelles qui ont le visage d'un nuage.
On croit vouloir partir et on reste.
On croit faire au mieux.
On croit communiquer et on inspire le silence
vendredi 6 juin 2014
Amitié 3
Cigarette, alcool. Arrêter. Continuer.
La mort.
Non pas la mort le silence visuel
Mémoire.
Come sail your ships around me
And burn your bridges down
We make a little history, baby
Every time you come around
Come loose your dogs upon me
And let your hair hang down
You are a little mystery to me
Every time you come around
We talk about it all night long
We define our moral ground
But when I crawl into your arms
Everything comes tumbling down
Come sail your ships around me
And burn your bridges down
We make a little history, baby
Every time you come around
Your face has fallen sad now
For you know the time is nigh
When I must remove your wings
And you, you must try to fly
Come sail your ships around me
And burn your bridges down
We make a little history, baby
Every time you come around
Come loose your dogs upon me
And let your hair hang down
You are a little mystery to me
Every time you come around.
mercredi 26 février 2014
Amitié 2
Personne ne se prépare à la mort d’un ami, personne. Même si certaines maladies s’y prêtent. J’ai peu du goût pour le blog désormais. Billets d’humeurs, étalage d’une vague culture générale, actualité et réaction. Je m’en fous. Si l’ami est encore en vie, dans un lit, et qu’il sait, qu’il est discret, c’est encore plus difficile d’avoir des mots, des phrases pour parler de lui. J’écoutais cela souvent avec lui….
vendredi 14 février 2014
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